Quelques clauses de l’accord sont destinées à rester secrètes.
1) Donald ayant déclaré qu’il se rendait en Russie, il est bon d’aligner les paroles et les faits. La Russie récupérera donc le territoire qu’elle a vendu en 1867 mais pour lequel elle n’a jamais touché les 7 millions promis alors. D’ailleurs, le sol gelé de l’Alaska ne permet pas d’y creuser des trous pour aménager des terrains de golf.
2) L’Alaska étant stupidement séparé des USA par le Canada, Vladimir soutiendra l’annexion du Canada par son ami Donald.
3) Dans la logique des remembrements territoriaux favorisant le commerce international et l’unification de la planète, l’ami de Vladimir, Xi, pourra annexer une petite île située sur son flanc est, qu’on distingue à peine sur la carte, sans provoquer de réaction de Donald, après qu’il aura relocalisé la fabrication des puces.
4) Le sort de l’Ukraine sera réglé ultérieurement, dans le palais du cap Idokopas, sur les bords de la mer Noire, après une partie de golf.
5) La poignée de main virile entre Donald et Vladimir est limitée à 2 min 30, en raison de l’insuffisance veineuse dont souffre le premier.
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