mardi 24 mars 2020

Journal insignifiant d’un con, finement (3)


Le matin, je tire les rideaux : dehors existe.

Au réveil, j’avais un peu mal à la tête, je toussais un peu, j’ai peut-être un peu de fièvre. Je vais aller faire la queue devant l’hôpital pour me faire dépister.

Après l’épidémie, le gouvernement n’aura pas à reprendre la réforme des retraites.

Quand je pense qu’un milliard de confinés dans le monde écrivent leur journal de confinement, c’est terrifiant.

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