mercredi 23 juillet 2025

Le monologue de Donald Trump

Je le connais bien, Poutine, ce n’est pas un assassin, il tue beaucoup de monde, mais ce n’est pas un criminel de guerre, c’est un type très fort, très fort, une sorte de Trump russe qui s’est débarrassé des Démocrates idiots. Il est intelligent, mais il dit quand même beaucoup de conneries, par exemple qu’il va négocier le matin et à midi il bombarde. Il est méchant, Poutine, il est très dur.

Il n’a pas déclenché la guerre, il n’est pas l’agresseur, mais c’est quand même lui le responsable numéro un. Après c’est Zelensky, un clown assez médiocre reconverti dans la petite politique, le responsable numéro deux, on ne fait pas la guerre contre quelqu’un qui est vingt fois plus grand. On passe un deal dans l’heure. On fait la paix tout de suite avec le plus fort. Au lieu de ça, il a fait un boulot épouvantable en envoyant ridiculement les Ukrainiens à la mort. C’est épouvantable, tous ces Ukrainiens qui auraient pu travailler dans les exploitations de terres rares, et qui sont morts pour rien, puisqu’à la fin c’est le fort qui gagne. Et le responsable numéro trois, c’est Jo l’Endormi, qui a donné des armes au faible pour se défendre contre le fort, un corrompu, Jo l’Endormi. Il a donné des armes au commercial Zelensky, le clown médiocre, le dictateur qui n’a pas été élu, alors que Poutine en face est démocratiquement élu, Zelensky le meilleur commercial de l’histoire de la politique, le type qui mendie des armes et des dollars, qui fait semblant d’acheter alors qu’il n’a pas d’argent pour payer. Il y avait un moyen de stopper tout de suite la guerre, il y avait un moyen de ne pas la commencer, si j’avais été là. Mais il n’y avait que des incompétents après l’élection volée, Poutine qui voulait montrer ses muscles, Zelensky qui voulait jouer le rôle du général, Jo l’Endormi le plus incompétent des Présidents.

Si j’avais été président, si l’élection n’avait pas été volée, il n’y aurait pas eu de guerre, elle aurait éclaté et elle aurait cessé tout de suite, il suffisait de ne pas donner d’arme au faible contre le fort. Maintenant, ils se battent comme des gamins dans un parc. Ce sont des fous, des gens horribles, ils tuent beaucoup trop de monde des deux côtés. Ils sont méchants tous les deux, le grand qui ne ménage pas ses coups, le petit vicieux qui ne veut pas se déclarer vaincu tout de suite. On va les laisser se battre pendant un moment, et on va voir combien de temps le faible va pouvoir résister au fort. Le fort tape fort, et la guerre va bientôt se terminer, et moi je sifflerai la fin de la partie, en levant le bras du vainqueur. Et la guerre va se terminer grâce à moi, je peux le faire, ou peut-être pas, elle n’aurait pas commencé si j’avais été là pour ne pas armer le bras du faible.



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