Tous trois regardent vers le haut : le gouverneur bien nourri, hilare ; le tsar, sérieux, sourcils froncés ; le pope, bouche ouverte, parlant, montrant quelque chose de son bras tendu.
Le gouverneur se réjouit du ciel dégagé, le pope prédit un avenir lumineux inscrit dans le ciel, le tsar affiche sa hauteur de vue, comme il sied à un tsar.
Si on abaisse le regard, on voit que les mains du tsar sont sillonnées de veines gonflées, comme des chemins tortueux. Il va demander au photographe officiel de recadrer.
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