Ce n’est pas lui qui aurait exclu injustement les athlètes russes des compétitions internationales.
C’était un homme fort, et il a soutenu les régimes forts dans son pays, sans rien dire, en se taisant, simplement en tapant dans un ballon. Il a fait du foot une religion, et cette religion-là, mondiale, a remplacé l’autre, l’opium du peuple.
Grâce à son incroyable jeu de jambes, on a compris que le sport n’était pas politique, qu’il y avait le foot d’un côté et la politique de l’autre, que les gouvernés devaient s’occuper de foot pendant que les gouvernants s’occupaient d’eux.
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