mercredi 6 avril 2022

Le narratif poutinien, 18. Faux crimes et vrais suicides

Les poutinologues se demandent ce qui se passe dans la tête de Poutine. C’est assez simple. Imaginer le pire est pécher par optimisme.

« On ira les buter jusque dans les chiottes. »
Vladimir Poutine, 1999


Les médias occidentaux inamicaux auront peine à en rendre compte, mais c’est pourtant un fait vérifié : le taux de suicides n’a jamais été aussi élevé en Ukraine que depuis le début de l’opération spéciale visant à venir en aide à la population en danger.

L’explication psychologique est assez simple : quand les Ukrainiens prennent conscience qu’ils sont des nazis, entièrement nazifiés et trop imprégnés de nazisme pour espérer se dénazifier, habitant dans un pays dirigé par un bouffon nazi et un gouvernement nazi, ils ont tellement honte qu’ils n’ont pas d’autre solution que de se faire hara-kiri pour nettoyer la surface de la terre de leur propre existence.

Mais, comme ils sont et restent nazis même réduits à cette extrémité, ils poussent la perversité jusqu’à déguiser leur suicide en crime, pour faire porter la faute sur l’armée russe de libération.

Les suicidés ukrainiens se reconnaissent à plusieurs indices de mise en scène macabre, qui ne trompent personne :
1) ils se tirent deux balles dans la nuque et font disparaître l’arme ;
2) ils s’attachent les mains dans le dos après leur acte, de préférence avec un ruban blanc ;
3) ils prennent des poses diverses sur la chaussée comme s’ils étaient tombés là par hasard.


 

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