Au 139e jour de l’opération spéciale
visant à libérer l’Ukraine de l’envahisseur ukrainien, le tsar Vladimir premier
s’est brusquement rendu compte qu’il n’avait pas écrit de livre.
Certes, il restera dans l’Histoire en raison de ses
hauts faits, sa pêche à la truite, sa chasse aux cerfs, et ses actes héroïques,
qui suffisent à sa gloire, mais il serait bon qu’a l’exemple des grands hommes
il laisse une trace écrite pour la postérité, pérennisant la hauteur de ses
actes par la profondeur de sa pensée.
Il est vrai que le recueil de ses discours, ainsi
qu’une anthologie de ses bons mots, constitueront un ensemble édifiant pour les
générations à venir.
Mais les illustres dirigeants dont il rejoindra le Panthéon peuvent se prévaloir d’une bibliographie. Les œuvres complètes de Lénine totalisent 30 820 textes ; Staline vient derrière avec 16 volumes ; Mao Zédong est l’immortel auteur du Petit Livre rouge.
Le titre Mon combat est
déjà pris par le bestseller d’Adolf Hitler. Mais la traduction du titre en
russe n’est pas protégée par le droit d’auteur, Моя борьба.
Le tsar doit rencontrer dès demain son historiographe officiel.
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