Le matin, je tire les rideaux : dehors
existe.
Au réveil, j’avais un peu mal à la tête, je
toussais un peu, j’ai peut-être un peu de fièvre. Je vais aller faire la queue
devant l’hôpital pour me faire dépister.
Après l’épidémie, le gouvernement n’aura pas à
reprendre la réforme des retraites.
Quand je pense qu’un milliard de confinés dans
le monde écrivent leur journal de confinement, c’est terrifiant.
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