Le tsar Vladimir premier a pris connaissance du
rapport de l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) sur la centrale
de Zaporijia. Selon ce rapport, « la situation est intenable ». Le
tsar s’est fait traduire le mot anglais « untenable », ne le
comprenant pas, puisque les Russes tiennent la centrale.
Le directeur général de l’AIEA, M. Grossi, prétend
que « l’intégrité physique de la centrale a été violée à plusieurs reprises ».
L’accusation de viol n’est pas nouvelle, portée par les médias occidentaux
contre l’armée russe, mais on n’avait jamais osé un mensonge aussi énorme.
Jusqu’à présent, les experts occidentaux décadents
maintenaient une frontière étanche entre le nucléaire civil et le nucléaire militaire. Les
Russes ont victorieusement démoli le mur de séparation.
Un seul réacteur de la centrale marche encore, pour
fournir l’énergie nécessaire au refroidissement des réacteurs. Cette idée plaît
beaucoup au tsar, d’une centrale qui ne sert qu’à elle-même, sans fournir d’électricité à l’extérieur.
Pour faire face à la pénurie de gaz, de pétrole et
de charbon, les pays occidentaux rouvrent leurs centrales nucléaires fermées ou
en construisent de nouvelles. Ce qui est une bonne nouvelle pour de futures
occupations militaires.
Vus de haut, les six réacteurs de Zaporijia
ressemblent à des interrupteurs avec des boutons rouges. Le doigt du tsar le
démange.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire