Le tsar Vladimir premier a signé aujourd’hui le
décret qui accorde la citoyenneté russe à deux éminentes personnalités : madame
Ségolène Royal et monsieur Matteo Salvini.
L’ancienne candidate à
la présidence de la République française, bien qu’elle appartienne à l’Occident
décadent, n’est pas dupe de la propagande ukrainienne mensongère. Elle ne s’est
pas laissée abuser par « la maternité bombardée » ni par « le
récit de viol d’enfant pendant sept heures
sous les yeux des parents ». Comment des choses pareilles seraient-elles
possibles ? Elles sont si inhumaines qu’il faut qu’elles soient inventées.
Elle sait bien que les soldats russes ne sont pas capables de telles atrocités.
Ce qui est monstrueux, elle l’a bien dit, ce ne sont pas ces crimes, qui
n’existent pas, mais « d’aller diffuser des choses comme ça uniquement
pour interrompre le processus de paix ». Il ne pourra commencer qu’au
moment où les Occidentaux ne parleront plus des crimes de guerre. Le tsar
propose que madame Ségolène Royal, qui n’a pas l’habitude de se taire, soit
nommée modératrice dans les futures négociations de paix.
Et un autre passeport
pour monsieur Matteo Salvini, dirigeant du parti d’extrême-droite italien. Il a
bien compris que les sanctions contre la Russie ne servent à rien, que ses
coffres se remplissent, et que les Occidentaux sont à genoux. Il a conclu,
sagement, qu’il est essentiel de repenser la stratégie européenne pour sauver
les entreprises, les emplois et le pouvoir d’achat. La Russie est prête à
tendre la main pour relever cet homme fort à genoux. Entre hommes virils
partisans d’un régime autoritaire, on s’entend pour manger les plus petits, en
attendant que les forts se mangent entre eux. À la fin, c’est l’ours russe qui
gagne.
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