Les douze médecins particuliers qui veillent sur le
tsar Vladimir premier ont publié récemment un bulletin de santé : le tsar
se porte à merveille.
S’il se cramponne de la main droite à la table ou
au bras des fauteuils, c’est qu’il tient ferme la barre, comme un nouveau Grand
Timonier.
S’il envoie des sosies en Iran ou en Biélorussie,
c’est qu’il veut éviter les maladies, justement parce qu’il n’est pas malade.
On lit dans la presse dégénérée de
l’Occident : « Vladimir Poutine : cancer, maladie de
Parkinson, visage gonflé... les rumeurs enflent sur la santé du président russe. »
Le tsar a bonne mine. Les journalistes décadents lui trouvent le visage « gonflé »
pour faire « enfler » les rumeurs, et pour le plaisir d’un jeu de
mots. On lit encore : « L'homme fort du Kremlin a 70 ans alors
que l'espérance de vie en Russie se situe, pour un homme, entre 65 et 67 ans. »
Et voilà pourquoi le tsar est un homme fort.
Penser à
tous les observateurs occidentaux qui spéculent sur ses maladies entretient le
tsar dans une forme éblouissante, pour ne pas dire insolente.
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