lundi 9 décembre 2024

Le narratif poutinien, 166

Le tsar Vladimir 1er a suivi la messe de réouverture de Notre-Dame de Paris, où il n’était pas invité, mais où il entrera quand l’hymne russe retentira sous la voûte, joué par les grandes orgues, après la chute de la France et de tout l’Occident.

Le bouffon ukrainien a été touché par la grâce, au point de reconnaître enfin que « la paix par la force est possible ». C’est la première fois qu’il fait preuve de bon sens en reconnaissant sa faiblesse et en se soumettant à la puissance.

La Grande Russie vient encore de témoigner de sa magnanimité en donnant asile à Bachar al-Assad « pour des raisons humanitaires » : l’infortuné président, ophtalmologue de formation, a souffert d’aveuglement. Il remercie le tsar d’accueillir les hommes forts comme lui injustement méconnus par un peuple ingrat. Quand Bachar aura reconquis la Syrie, le tsar pourra compter sur lui pour lui offrir pareillement le gîte et le couvert.



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