L’ennemi a le droit de bombarder son propre territoire dans la limite de ses frontières.
Les Occidentaux ne sont peut-être pas si décadents qu’on le dit à la télévision russe : ils soutiennent le faible qui agonise sous ses yeux, en ménageant le fort avec lequel ils s’apprêtent à négocier quand la paix dans les conditions imposées par le vainqueur sera revenue, et que le commerce pourra reprendre comme dans le monde d’avant.
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