Quand le tsar Vladimir premier a su
que Londres avait signé le décret d’extradition de Julian Assange vers les
États-Unis, il a aussitôt offert l’asile politique au fondateur de Wikileaks.
S’il est jugé aux États-Unis, le lanceur d’alerte
risque 175 années de prison, à comparer avec les neufs ans justement
mérités par le terroriste Alexeï Navalny pour escroquerie et offense à
magistrat. Âgé de 45 ans, il aura purgé sa peine à 54 ans, alors que
Julian Assange ne sortira des geôles américaines qu’à 225 ans.
Au cas où Julian Assange pourrait apporter en
Russie des révélations nouvelles sur les crimes de guerre commis par les armées
américaines en Irak et en Afghanistan, en plus des 750 000 documents
militaires et diplomatiques déjà publiés, il se verrait remettre un passeport
et une datcha à son arrivée.
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