Au début du printemps, c’est-à-dire au commencement
de l’opération spéciale, le président Macron a demandé aux Russes de permettre aux
Ukrainiens de semer du blé. Même avec la pire sécheresse, le blé poussera,
arrosé par le sang.
Si les Ukrainiens continuent à cacher des tanks
livrés par l’Occident dans les silos à blé, l’armée russe se verra contrainte
de les bombarder, quoique le blé brûle moins facilement qu’un dépôt de
carburant.
Le premier bateau ukrainien qui sortira d’un port
de la mer Noire, chargé de blé, sautera sur une mine ukrainienne.
Si les Ukrainiens n’acceptent pas de déminer leur
côte pour permettre la libre circulation du blé, comment les touristes russes
pourront-ils débarquer pacifiquement sur les plages
de la mer Noire avec armes et bagages ?
Les Occidentaux sont tellement méchants qu’ils n’hésiteraient
pas à mordre la main qui les nourrit.
Ceux qui vont mourir de faim sauront qui leur
retire le pain de la bouche, en gardant pour eux le blé qu’ils produisent.
Le tsar Vladimir premier aime citer cette phrase
historique de l’ancien président Boris Eltsine : « S’ils n’ont pas de
pain, qu’ils boivent de la vodka. »
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