Quand une pause humanitaire a pu être
observée, quand l’aide humanitaire est enfin arrivée, il n’y avait plus d’humains,
et plus d’humanité depuis longtemps.
Quand la prison est devenue un
cimetière, les morts ont enfin pu enterrer les morts.
Un enfant mort portait autour du cou
une pancarte avec l’inscription : « je suis un humain, pas un bouclier. »
Dans notre numéro de demain, nous publierons
un débat sur le conflit israélo-palestinien entre Sartre, Camus et Foucault. Il
y avait longtemps que les grands philosophes ne s’étaient pas exprimés.
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