Depuis Pékin, le tsar Vladimir premier
renouvelle sa proposition de médiation dans la crise de Moyen-Orient, pour
mettre fin à la tragédie et éviter la catastrophe, d’un point de vue
humanitaire.
Il rappelle aux belligérants quelques
règles simples.
Il est permis de viser des cibles
civiles, puisque tous les civils peuvent devenir des militaires, que les
hôpitaux soignent des soldats blessés et que les écoles accueillent des enfants
qui deviendront des guerriers ennemis.
Pour éviter les crimes contre
l’humanité, il suffit de décider que l’ennemi n’est pas humain.
Le droit de la guerre n’existe que
pour les faibles ; les forts ont le droit de faire la guerre.
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