Les vies et travaux d’Adof H. et du tsar Vladimir premier présentent un
certain nombre de points communs. On ne peut pas en tirer de conclusions
définitives, mais quand même, il existe des coïncidences troublantes.
D’après
des historiens sérieux, Adolf H. était doté d’un seul testicule et d’un tout petit pénis (7 cm en
érection, la largeur d’un téléphone portable). Ceci expliquerait peut-être
cela. Les médecins légistes se pencheront bientôt sur les mensurations du tsar
Vladimir.
Adolf H. n’était pas grand, Vladimir est plus
petit. Ceux qui sont obligés de lever les yeux pour regarder les autres rêvent
de les voir un jour ramper à leurs pieds.
Dans sa jeunesse, Adoph H. a été amoureux
transi de la belle Stefanie Isak, un nom qui sonne juif. Quand elle détournait
ses regards, il était « prêt à se détruire et à détruire le monde entier »,
d’après son ami August Kubizek. L’Ukrainienne qui a éconduit Vladimir quand il
n’était pas encore tsar préfère conserver l’anonymat.
Adolf H. a été recalé à l’examen d’entrée des
Beaux-Arts. Il aurait pu être un peintre estimable. Vladimir a raté sa carrière
d’espion. À défaut, les deux se sont recasés dans la politique.
Adolf H. (1889-1945) s’est suicidé en disant :
« Si la guerre est perdue, peu m'importe que le peuple périsse. Ne comptez
pas sur moi pour verser une seule larme. Il ne mérite pas mieux. » Les
historiens du futur rapporteront les derniers mots du tsar Vladimir (1952-2022) :
« Peu m’importe que le monde périsse. Il ne mérite pas mieux. Même le
peuple russe : il ne me méritait pas. »
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